Olivier Runel en 1ère partie de Marie-Paule Belle (juin 2006)

Olivier Runel : « Mon crapaud préféré »
J’ai eu le plaisir de découvrir les nouvelles chansons d’Olivier Runel sur la scène de la Ferme des Hirondelles à Fretin, un petit lieu sympathique où l’on peut aussi déguster de bonnes bières et bien manger. Olivier RUNEL, il n’aime pas qu’on le dise, mais c’est vraiment le frère de Marie Paule BELLE. Il s’accompagne au piano et sa sensibilité à fleur de peau le conduit à être très proche de son public. Dans un univers doux-amer, il enfile son costume de Pierrot à la recherche de l’émotion, celle qui fait rire, sourire ou aimer.

Alain Stiévenard - Radio Club 19/11/2005

Olivier Runel sur scène au théâtre de l'Essaïon
Tour à tour excentrique, drôle ou émouvant, Olivier Runel sait jouer sur tous les registres. Il livre sans retenue ses sentiments, son amour des mots et des notes. Ses mains rebondissent avec légèreté sur le piano noir avec lequel il parcourt les scènes parisiennes depuis plusieurs années. Après le succès de son spectacle présenté au Sentier des Halles en avril, l'artiste sera le lundi 28 et le mardi 29 novembre au théâtre de l'Essaïon. Une belle occasion de découvrir ce musicien qui fait penser à un certain Charles Trenet.

Sylvain Raggianti - Affiches Parisiennes et Départementales, La Vie Judiciaire, 24-25 novembre 2005

On ne sait pas si le chanteur et ses chansons sont beaux ou laids, on subit leur charme... Charles Trenet n'est pas loin. D'autre part, il est le frère de Marie-Paule Belle. Bon sang ne saurait mentir.

Le Jardin de ma Soeur à Bruxelles - sept. 2005

Le 12 avril, au Sentier des Halles à 20h30 avait lieu une soirée : "Des mots, des voix, des pianos" avec deux auteurs-compositeurs : Olivier Runel et Samuel Leroy. Dans cette salle en sous-sol bondée, on a remarqué la présence de Charlotte Julian, Gérard Blanc et Marie-Paule Belle. Il faut dire que cette dernière est la soeur d'Olivier Runel qui a assuré la première partie (il a d'ailleurs signé une chanson, "A l'imparfait", sur le dernier album de cette dernière fin 2004). Ce dernier, malgré sa voix "difficile", a prouvé que la scène n'avait pas de secret pour lui. Il faut dire qu'Olivier a fait l'école des cabarets : l'Echelle de Jacob, l'Ecluse... Personnage attachant, passant de l'exubérance et de l'humour (chantant un couplet d'une de ses chansons en japonais...) à la poésie sombre, toujours très à l'aise et très complice avec le public."

Platine - mai 2005

Olivier et son piano s'aiment, ne le cachent pas et on les regarde, on les entend s'aimer et on se dit qu'un tel amour, c'est décidément beau.

Le Jardin de ma Soeur à Bruxelles - mars 2005

Ils sont auteurs, compositeurs et interprètes et ont en commun une passion immodérée de la chanson française, Samuel Leroy et Olivier Runel. Celui-ci a un registre assez romantique qui fait penser à Alain Chamfort et à Véronique Sanson. Il joue des compositions issues en partie de son album "Seul avec mon piano". C'est un personnage théâtral, venu de Montmartre, qui a fait le cours Florent et sait parfaitement capter l'attention du public. L'occasion est belle ce soir d'éteindre la télé et de sortir à la rencontre de ces chanteurs passionés.

La Voix du Nord 2005

Olivier Runel, un véritable personnage ! Le frère de Marie-Paule Belle sera au Colombestival le jeudi 19 août et le samedi 21 août 2004. "Nous aimons le style d'Olivier qui met toute son âme et son énergie à vouloir transmettre ses compositions d'une manière qui se complète avec son piano et ceci me reporte aux annés 50-60 où les chansonniers étaient très présents à propager un message d'humour, à taquiner la politique... et sous d'autres formes de la vie quotidienne. De ses chansons émergent des paroles qui vous vont droit au coeur, des chansons où l'humour est intelligent."

R. Clivaz Théâtre de la Colombe à Lausanne - août 2004

Olivier Runel est un personnage très attachant d'une grande humilité. Dans la plus grande simplicité, il vous fait passer d'un extrême à l'autre dans la gamme des sentiments, un instant c'est un clown qui chante en japonais, l'instant d'après il vous fait explorer les tréfonds de son côté plus sombre... Olivier Runel est très comédien, mais derrière ses faux airs de Roberto Benigni grimaçant et enthousiaste, il semblerait qu'il y ait une authenticité poignante et une grande fragilité.

Festival de la Chanson Française à Hyères - jeudi 12 août 2004

Le Fréventin Samuel Leroy et Olivier Runel ont associé leurs textes, leurs notes et leurs talents pour un duo remarquable intitulé "Des mots, des voix, des pianos". En tournée dans toute la France, ils ont cependant souhaité répondre présents (et gracieusement) à l'invitation des responsables de l'hôpital Maritime, dimanche. Pour la Fête de la Musique, ils ont ainsi, durant deux heures, égrainé leurs textes originaux mêlant humour, poésie et rythme. Si Samuel est bien connu dans la région, Olivier l'est plus par ses chansons, mais aussi parce qu'il est le frère de la chanteuse Marie-Paule Belle. Une parenté qui n'échappe pas au public par le physique, par le dynamisme des rythmes et son jeu de scène.

La Voix du Nord 24/06/2004

L'hôpital Bretonneau accueille dans son théâtre une Semaine de la Chanson
La chanson monte sur scène à l'hôpital
Dans cette petite salle de 140 places, à peine remplie, l'ambiance est intimiste, forcément. Un piano à queue et le talent d'Olivier Runel font le reste. Front dégarni, sourire franc, le chanteur a des airs de Roberto Benigni, surtout dans les mimiques tour à tour clownesques et mélancoliques. Loin de la performance vocale, Olivier Runel veut d'abord faire passer de l'émotion au public. Dès les premiers sauts de puce de ses doigts sur le clavier, les pieds et les mains des spectateurs s'agitent pour battre la mesure. Les plus complices connaissent les paroles, tentent de suivre la cadence et les inflexions de voix improbables de ce chanteur farceur. Ses facéties et ses clins d'oeil déclenchent les éclats de rire dans la salle. Mais l'artiste ne fait pas que du "rigolo". Il sait toucher son public par des mélodies douces et des poèmes d'amour. Amour perdu, amour impossible, amour lointain... Des mots simples qui touchent. Le calme s'installe, les regards se perdent dans le vide. Pour sûr, chacun revit une histoire d'amour passée, jamais oubliée. Brigitte, cheveux roux coupés court et faussement disciplinés sous un chapeau, suit le parcours de "son" Olivier depuis plusieurs années. A chaque concert, elle retombe sous le charme. "C'est toujours un pur moment de bonheur, de grâce, de poésie, de générosité. Il nous entraîne dans un univers qui fait rire, sourire, pleurer. Il nous fait toucher les étoiles rien qu'avec ses mots." Myriam et Françoise, deux fans de la première heure, restent sans voix devant l'éloge de Brigitte à leur chanteur préféré. Il suffit de voir leurs yeux briller pour comprendre : c'est comme une friandise acidulée que l'on savoure avec bonheur.
A l'entracte, André, Franck et Lucien discutent en cercle serré, à deux pas de la salle de concert. Lucien, septuagénaire, blague d'une voix caverneuse : "Ici, on ne peut pas boire un coup. D'habitude, je vais voir Olivier dans un bar du 11ème arrondissement, c'est une autre ambiance..." "Oui, mais là c'est sympa aussi, le reprend Franck, gai, enjoué... ça fait du bien. Et puis, c'est quand même le frère de Marie-Paule Belle ! Il y a des ressemblances dans le ton, vous avez remarqué ?" Ce que l'on a remarqué, c'est la présence de la célèbre soeur, non loin de Maddly, la dernière compagne de Jacques Brel. Très enthousiastes, elles ne sont pas les dernières à donner de la voix...

Marie-Eve Constans, La Croix - 22/05/2003

Qu'il est dur de trouver son chemin quand les pensées qui vous assaillent sont multiples. C'est ainsi que les textes et les mélodies d'Olivier Runel peuvent prendre des formes diverses qui vont de la mélancolie à l'amour, de la passion à la folie, de la douceur à l'exubérance, de la pudeur à l'érotisme. On a l'impression que sa tête est reliée à son piano par une main qui guide voix et musique. On ne peut dissocier l'auteur du compositeur et de l'interprète car chez lui tout est sensible.

Alain Stiévenard "La Feuille" - février 2003

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